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Produire et manger local

Notre mode d'alimentation n’est pas sans enjeu et conséquence sur notre santé, notre environnement et notre planète. Découvrez les services, aides et actualités de la Région Île-de-France pour produire ou consommer des produits non transformés, locaux et de saison.

Manger est un besoin vital et bien au-delà, aussi, un art de vivre. 
Nos choix alimentaires ont un impact sur notre santé, mais aussi sur notre environnement. 

Découvrez les services numériques, aides et actualités en Île-de-France qui vous permettront de sélectionner ou produire des produits locaux, de saison.

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Nos dossiers pour produire et manger local

Témoignage

Ils font la Région

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Louis Albert, héliciculteur bio

« La marque Produit en Île-de-France est un véritable atout en plus de notre label bio. Les consommateurs, particuliers et professionnels, sont de plus en plus nombreux à vouloir consommer local. Plus globalement, la Région nous accompagne. Elle nous permet de participer à des événements importants comme le Salon de l’agriculture afin de promouvoir nos produits locaux. ».

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Les produits franciliens à l'honneur

Podcast : l'agriculture locale en Île-de-France

[MUSIQUE]

[Caroline] 
C'est un défi dans le sens où on est tellement fiers de l'avoir fait, d'avoir réussi à obtenir ce logo, c'est wow, j'en fait partie ! 

[Philippe] 
Aujourd'hui, oui, les gens ont besoin de savoir où c'est fait, comment c'est produit, comment on le fait. Puis, quelque part, c'est une façon de défendre la région Île-de-France.   

[Journaliste] 
Vous écoutez Paroles de Franciliens, le podcast de la Région Île-de-France qui vous donne la parole. À chaque épisode, nous partons à la rencontre d'étudiants, de bénévoles, d'artisans, de lycéens, d'entrepreneurs, d'agriculteurs ou encore de sportifs. Ils ont tous bénéficié du soutien de la Région pour s'engager, se reconvertir ou simplement poursuivre leur passion. Voici leur histoire. 

[Caroline]
Les consommateurs sont surpris souvent quand j'ai un nouveau client qui vient à ma boutique ou que je rencontre : « Ah, vous faites des pâtes à Varreddes ? Ah, mais c'est génial, c'est super. » « Oui, oui, on fait des pâtes à Varreddes, en Seine-et-Marne. Les pâtes aussi se font à Varreddes, en Seine-et-Marne. »

[Journaliste]
En Île-de-France, près de la moitié du territoire est agricole. Alors qu'on l'imagine dense, urbaine et coupée de la terre, l'Île-de-France est aussi rurale et hyper active. Des milliers de cultivateurs, producteurs et agriculteurs y travaillent jour et nuit. Ces terres sont fertiles et on y fabrique, récolte ou transforme des milliers de produits alimentaires. Les asperges d'Argenteuil, le Brie de Meaux, le vinaigre de Lagny, le miel du Gâtinais... C'est doux, c'est bon, c'est poétique et c'est produit en Île-de-France.

« Produit en Île-de-France », c'est donc la marque de reconnaissance pour toutes ces productions locales, créée par la Région en 2018 sous l'impulsion de l'organisme Île-de-France Terre de saveurs. La marque réunit et défend des produits de choix, sélectionnés et profondément ancrés sur le territoire.

Aujourd'hui, cette marque défend plus de 3.000 produits travaillés par quelque 460 producteurs. Ils n'ont qu'un objectif : favoriser le circuit court et répondre à la demande de consommateurs toujours plus exigeants et engagés. Tous souhaitent manger mieux, bon, local et responsable. Pour en parler, nous sommes allés en Seine-et-Marne à la rencontre de deux producteurs adhérents de la marque régionale, Caroline Petit et Philippe Brard.

À quelques jours du Salon de l'agriculture où ils présenteront leurs produits, ils nous reçoivent sur leur exploitation. Au cœur de la ferme et au grand air. Un avion passe et Caroline nous accueille. 

[Caroline] 
Donc ici, on est dans la ferme de la famille de mon mari, qui est dans la famille depuis plusieurs générations. Ici on se trouve juste devant mon atelier de pâtes. En face, nous avons juste notre maison d'habitation, comme ça on est directement sur place. 

[Journaliste] 
Votre mari travaille où ? Les champs sont où ?  

[Caroline] 
Juste autour du village.

[Journaliste]
D'accord, donc vraiment à deux pas...

[Caroline] 
Vraiment à deux pas d'ici. C'est quand ma fille est née qu'on a eu l'envie de se rapprocher d'une vie plus familiale et d'un travail avec plus de sens, quelque chose de plus manuel, de plus d'artisanal. 

[Journaliste]
Un travail qui a plus de sens, finalement, c'est quoi ? 

[Caroline] 
C'est un travail, peut-être, pour lequel on a plus envie de se lever le matin, pour lequel on voit plus la finalité, c'est à dire qu'on travaille de A à Z sur notre produit. De la fourche à la fourchette, on maîtrise tous les intrants. On maîtrise notre produit sur le bout des doigts. J'ai eu la chance de pouvoir monter mon projet avec l'aide de la Chambre d'agriculture de Seine-et-Marne, qui m'a tout de suite guidée vers l'équipe d’Île-de-France Terre de saveurs. Et effectivement, j'ai tout de suite accroché parce que quand on monte un projet local, c'est exactement les valeurs qu'on veut défendre : la ruralité, le savoir-faire, les bienfaits, la proximité aussi. Moi, venant de la campagne, j'imaginais un Francilien très pressé, un peu nonchalant, qui regarde par terre en marchant. Ce n'est pas du tout ça, finalement, ce sont des gens très humains. Et pour moi, l'Île-de-France, c'est un peu la magie d'une zone densifiée, mais avec beaucoup d'humanité. 

[Journaliste] 
Caroline Petit a 33 ans. Après avoir travaillé dans l'Yonne, dans l'industrie agro-alimentaire, elle quitte la Bourgogne pour l'Île-de-France. Objectif : rejoindre son mari aux champs et trouver un travail épanouissant. Dans sa ferme, une idée germe. Elle fabriquera des pâtes à partir du blé dur de son époux. 18 mois plus tard, son activité est bien lancée et on la retrouve, charlotte sur la tête et masque sur le nez, dans son laboratoire de fabrication. Un labo flambant neuf situé dans un ancien atelier de stockage de pneus de tracteur. À l'intérieur, de l'eau, des œufs, la farine familiale et des machines italiennes. 

[Caroline]
Donc, là, je suis en train de secouer mes pâtes, un peu de disperser mes pâtes pour qu'elles puissent bien sécher ensuite dans mon séchoir. Il s'agit de fusilli nature aux œufs. On va avoir un moule à coquillettes, être un moule à fusilli, un moule à radiatori et un autre à tagliatelles. Bref, on peut avoir plein de formes de moules différents et c'est ça qui va faire toute la variété de la pâte. Ça ne sert à rien que ma clayette soit trop chargée, car si elle est trop chargée, les pâtes vont mal sécher. Elles vont sécher un petit peu plus de 17 heures, exactement 17h34, à une température entre 50 et 60 degrés et dans mon séchoir qui est juste derrière moi. 

[Journaliste]
Vous dévisser le moule ? 

[Caroline] 
Oui. 

[Journaliste] 
Vos pâtes préférées en ce moment ?

[Caroline]
Mes pâtes préférées, les pâtes au thym. J’adore ! Donc vous voyez la farine, elle est toute douce, toute fine et a été écrasée sur une meule de pierre. C'est une farine assez jaune, assez brune. En même temps, on garde plus de minéraux, de fibres, de vitamines, donc elle est plus nutritive. 

[Journaliste] 
Après deux ans de travail intense, Caroline Petit et la « Ferm'Meaux pâtes » bénéficient désormais du soutien de la Région et de sa marque « Produit en Île-de-France ». 

[Caroline] 
Alors, la marque « Produit en Île-de-France », j'attendais principalement de rentrer dans un réseau, ce qui est fait, d'avoir une vraie distinction d'un point de vue régional, c'est à dire qu'on voit en un clin d'œil que mon produit vient d'Île-de-France et c'est très important. J'ai eu la chance de rentrer dans la centrale d'achat d'une grande surface qui m'a donné un gros volume. Et ça, c'est grâce à la Région et donc grâce à Île-de-France Terre de saveurs. 

[Journaliste]
C'est un défi ?

[Caroline]
C'est un défi dans le sens où on est tellement fiers d'avoir réussi à obtenir ce logo. C'est wow, j'en fais partie moi aussi. Ça y est, c'est reconnu. J'y ai droit. Le logo qui est très représentatif avec l'étoile rouge. En un coup d'œil, on sait que c'est un produit francilien. J'aime beaucoup le logo. 

[Journaliste]
Vous me disiez qu'il y avait des poules... 

[Caroline] 
De l'autre côté de la ferme, juste derrière le petit chemin. Vous voulez rentrer ou pas ? C'est un peu gadouilleux.  Mais.... Donc, là, on est directement sur nos champs, donc là, c'est vrai qu'on a le pré avec le poney et les poules, mais juste derrière, ce sont les champs de mon mari. Voilà donc là, il y a le blé qui est en train d'y pousser. 

[Journaliste] 
Dans quelques jours, Caroline quittera champs et poules de plein air pour rejoindre le Parc des expositions à Paris. Au Salon de l'agriculture, elle représentera l'Île-de-France et ses produits. Une aubaine inattendue. 

[Caroline]
C'est très important pour moi d'être présente au Salon de l'agriculture de cette année. C'est même plus important que ça. C'est beaucoup de fierté de ma part parce que petite, j'allais déjà au Salon de l'agriculture me promener dans les allées parce que forcément, c'est un milieu que j'aime énormément. Maintenant, j'attends aussi que le salon m'apporte d'être plus connue. 

[Caroline] 
Ces pâtes-là ont passé 17h34 dans mon séchoir. Et elles sont maintenant à moins de 12% d'humidité. Elles sont parfaites, elles sont prêtes pour le conditionnement. Ce sont des pâtes à la betterave, donc elles sont violettes.

[Journaliste] 
Ça vous plait de passer vos mains comme ça dans votre production ? 

[Caroline] 
Exactement oui, c'est jouissif. C'est là qu'on se dit qu'on fait du bon travail ! On est sur un vrai produit agréable, donc on en profite. Moi mon rêve, c'est maintenant que mon petit labo de pâtes fonctionne comme je l'ai prévu, à merveille, de pouvoir en vivre et d'avoir une vie avec ma famille juste à côté. 

[Journaliste]
À 70 kilomètres de la « Ferm'Meaux Pâtes », direction la ferme de la Psauve, à Nangis, toujours en Seine-et-Marne. Philippe Brard, responsable de l'exploitation « Les Yaourts de Nangis » nous y attend. À l'arrivée, un grand corps de ferme, une mare bucolique, un tracteur, une maison d'habitation et aucune vache à l'horizon. Ici désormais, on transforme exclusivement le lait en yaourts. Près de 10.000 par semaine. Puis on les conditionne. Dans l'atelier de fabrication, un employé est à l'œuvre auprès d'une machine dont il faut suivre la cadence. 

[Journaliste]
Bonjour, donc, ici, il fait très chaud, c'est humide pour la fabrication de yaourts, et les machines qui sont chaudes...

[Philippe]
Oui et puis il y a une ambiance de chaleur du pasteau qui crée aussi de la chaleur, donc oui. Ça en fait combien cet après-midi ? 400 ? 

[Journaliste]
Donc ce sont des yaourts nature ?

[Philippe]
Oui, on ne fait que cela pour l'instant. On vient de changer de machine, donc on a pour objectif d'essayer de faire un ou deux parfums supplémentaires, fruits et vanille. 

[Journaliste]
Et là, c'est pour pasteuriser ? 

[Philippe]
Là, c'est pour pasteuriser le lait. Nous, c'est du lait entier, qu'on pasteurise, après on met les ingrédients qu'il faut pour faire le yaourt, avec les ferments, etc. Et après, on conditionne. 

[Journaliste] 
Ancien producteur de céréales et éleveur de poulets pendant vingt ans, Philippe Brard a 44 ans. Ici, à Nangis, il entreprend une nouvelle vie en développant et valorisant ses yaourts, bien évidemment « Produit en Île-de-France ». Dans son bureau, niché dans un coin de la ferme, il fait le point sur cette marque qu'il connaît depuis ses débuts. 

[Philippe]
Ça a apporté de la visibilité et du contact professionnel. En fait, de montrer qu'on existe, qu'on a un savoir-faire, de se démarquer un peu de ce qui peut exister. Et puis, je pense que ça rassure un petit peu le client, j'espère du moins. Aujourd'hui, les gens ont besoin de savoir où c'est fait, comment c'est produit, comment on le fait, pour leur montrer que c'est bien fait aussi, etc. Je pense que c'est important. Et puis, quelque part, c'est une façon de défendre la région Île-de-France. 

[Philippe]
Là, on est à l'entrée de la ferme, qui vient de la route de la Croix, on passe devant la mare qui est au pied de la ferme et ici on arrive sur l'entrée qui accueille, en général, le public pour les ventes à la ferme du samedi. Là, vous avez un grand bâtiment où est le labo de transformation pour les yaourts...

[Journaliste]
Et autour de nous, des champs à perte de vue. 

[Philippe]
Et que des champs autour de nous, oui, toutes les terres de l'exploitation sont quasiment autour. Avant, il y avait des vaches, mais plus maintenant. 

[Journaliste] 
Du coup, où allez-vous chercher votre lait ?

[Philippe]
Chez un collègue, à 15 minutes d'ici, qui a d'ailleurs racheté nos vaches. Lui nous fait le travail d'élevage, de production de lait. Et nous, on lui rachète et on le transforme. 

[Journaliste] 
L'éleveur qui a racheté vos vaches ?

[Philippe]
Une partie de nos vaches, oui, qui a racheté une partie de nos vaches, oui, tout à fait. 

[Journaliste]
Vous y allez, là ?

[Philippe]
Si vous voulez ? 

[Journaliste] 
Allons-y !

[Thierry, éleveur] 
Messieurs-Dames, bonjour ! Bonjour Philippe ! Monsieur Masson, à Jouy-le-Chatel, exploitation aux Orbies sur la commune, et monsieur Masson tout simplement. Le lait qui est produit ici, il sert, une partie pour fournir « Les Yaourts de Nangis », et tout le restant sert à fabriquer du Brie de Meaux, du Brie de Melun à la fromagerie Pré Forêt Rouzaire. 

[Philippe]
En échange de bons procédés et de yaourts, car en plus il en achète pour en manger ! 

[Thierry, éleveur]
En plus, j'achète ceux-là maintenant, j'en achète plus d'autres. Ce n’est pas moi, c'est ma fille qui me fait les courses. Comme ça, au moins, je suis tranquille. Elle fait attention à mon corps... d’athlète ! 

[Journaliste]
Figure locale et éleveur hors pair, Thierry Masson a le pas et le regard vifs. Après quelques minutes, il repart aussitôt nourrir ses vaches avec de la luzerne bio. Selon Philippe Brard, son travail et sa présence sur le territoire sont essentiels pour produire en circuit court.

[Philippe]
Alors, moi, pour avoir été dans les circuits courts depuis plus de 20 ans, je dirais que ça s'est plus développé depuis une petite dizaine d'années. Je pense que les gens ont peut-être un peu découvert autre chose. Il y a une certaine confiance qui se fait aussi entre le producteur et le consommateur. Et je ne sais pas s'il y a un effet Covid ou eu d'autres choses avant, mais aujourd'hui, ils se rendent un peu plus compte de ce qui est proche de chez eux. 

[Journaliste] 
Vous me disiez que cette marque permet aussi de montrer qu'en Île-de-France, on sait faire des choses. 

[Philippe] 
Oui, puisqu'on a sectorisé beaucoup par région ou par département, des produits typiques. Alors qu'en Île-de-France, depuis plus de 100 ans, il y a toujours eu toutes sortes de productions. C’est la construction qui a fait qu'on a perdu certaines productions. Mais on avait beaucoup de maraîchage sur les secteurs de Gennevilliers. Il y avait des vignes. Ce n’était pas du vin du bordelais, mais ça existait. 

[Journaliste]
Manger local, c'est nécessairement manger mieux ?

[Philippe] 
On a au moins la traçabilité du produit. On sait où c'est fait, ce qui est utilisé, c'est fait sur place. On n'a pas forcément d'intermédiaire supplémentaire entre les deux. Donc, je pense que cela permet de dire que l'on mange mieux. 

[Journaliste]
Pour l'instant, où sont vendus les yaourts ?  Ici, à la ferme ?

[Philippe] 
Ici à la ferme, le samedi matin, après des épiceries nous achètent les yaourts et viennent chercher, des fromagers qui font les marchés, quelques clients - enfin un client qui prend pour chez lui qui et qui en emmène à Rungis un petit peu, et après des grandes surfaces, des grandes et moyennes surfaces.

[Malou, fromagère]
Bonjour, je m'appelle Malou, donc je suis fromagère sur le secteur Nangis et Bray-sur-Seine et je viens chercher les yaourts à la ferme toutes les semaines. C'est top. Du coup, on mange local ! C'est ça qui est important maintenant. Ils veulent du circuit court. On va dire que c'est quand même ce qu'il y a de plus écolo, en plus ils sont bons. Et à l'époque, il y avait des vaches aussi. Maintenant, il n'y en a plus. Mais bon, ça vient d'un troupeau pas loin à côté. C'est bien entretenu et ce n'est pas le cas de toutes les fermes autour, loin de là. 

[Journaliste]
Vous me disiez : « on est assez carré dans le travail ». En fait, cette marque, c'est ça ? C'est aussi un gage de qualité ?

[Philippe] 
C'est une façon de valider nos pratiques aussi, quelque part. Ça montre qu'on s'engage dans une démarche de qualité. 

[Journaliste] 
Le thème du Salon de l'agriculture cette année, c'est « L'agriculture, notre quotidien, votre avenir ». Quels sont vos rêves, vos espoirs pour les prochaines années ? Pour l’avenir ? 

[Philippe] 
Que le circuit court ne soit pas qu'une mode. Que ce soit aussi un mode de consommer. Entre le Covid, l'augmentation des charges, etc., il y a peut-être des choses où les gens vont revoir leur copie par budget ou autrement. Donc ça peut être une question qu'on peut se poser, oui. 

[Journaliste]
Si vous souhaitez rencontrer Caroline Petit et Philippe Brard, ils seront au Salon de l'agriculture, du 26 février au 6 mars. Rendez-vous donc à Paris Expo, porte de Versailles, où vous pourrez les retrouver sur le stand de la Région Île-de-France. Pour plus d'infos, vous pouvez également vous rendre sur le site iledefrance.fr. 

C'était Paroles de Franciliens, un podcast réalisé par la Région Île-de-France. N'hésitez pas à liker, commenter et partager. Merci beaucoup à Caroline et Philippe pour leur accueil et leur engagement. Et à très bientôt, pour de nouvelles Paroles de Franciliens.

Source URL
https://www.iledefrance.fr/sites/default/files/medias/2023-03/agriculture.jpg?itok=G3EIebzC

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