Une Île-de-France « sans perturbateurs endocriniens »

Ce sont « des substances chimiques d’origine naturelle ou artificielle étrangères à l’organisme qui peuvent interférer avec le fonctionnement du système endocrinien et induire ainsi des effets délétères sur cet organisme ou sur ses descendants » (Organisation mondiale de la santé 2002).
En adhérant à la charte Villes et Territoires « sans perturbateurs endocriniens » ce 22 novembre, la Région Île-de-France demande aux collectivités bénéficiaires d’aides régionales liées aux équipements scolaires, sportifs ou à la petite enfance, de respecter 5 engagements de principe, en faveur de l'environnement et de la santé des Franciliens :
- Restreindre et éliminer à terme l’usage des produits phytosanitaires et biocides qui contiennent des perturbateurs endocriniens et accompagner les habitants dans cette démarche.
- Réduire l’exposition aux perturbateurs endocriniens dans l’alimentation et développer la consommation d’aliments biologiques
- Favoriser l’information des professionnels de santé, des collectivités, de la petite enfance et des acteurs économiques.
- Éliminer progressivement les perturbateurs endocriniens des contrats et achats publics par le biais de critères d’éco-conditionnalité.
- Informer tous les ans les citoyens de l’avancement des engagements pris.
La Région est pleinement engagée dans la réduction significative des perturbateurs endocriniens sur son territoire, à travers :
► La suppression de l’usage des produits phytosanitaires dans le cadre de sa politique eau et milieux aquatiques .
► Une horticulture et des pépinières respectueuses de l’environnement à travers une charte régionale horticole.
► Une agriculture biologique, mesure forte du pacte agricole régional.
► Une gestion forestière durable défendue dans la stratégie régionale pour la forêt et le bois.
► Une structuration des filières de matériaux et produits biosourcés.
► Une biodiversité et des écosystèmes préservés.
► La suppression de l’usage des produits phytosanitaires dans le cadre de sa politique eau et milieux aquatiques .
► Une horticulture et des pépinières respectueuses de l’environnement à travers une charte régionale horticole.
► Une agriculture biologique, mesure forte du pacte agricole régional.
► Une gestion forestière durable défendue dans la stratégie régionale pour la forêt et le bois.
► Une structuration des filières de matériaux et produits biosourcés.
► Une biodiversité et des écosystèmes préservés.
Photo : © Getty Images
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