Égalité femmes-hommes : une politique régionale, trois axes d’action
Si les femmes représentent 52% de la population francilienne, les disparités entre elles et les hommes, demeurent une réalité.
Une Région qui œuvre pour l'égalité femmes-hommes

Par ailleurs, elle accompagne, dès le lycée, les projets en faveur de l’égalité et de la citoyenneté grâce au dispositif Agir au lycée pour la culture et la citoyenneté des élèves (Alycce).
Parce que l’égalité se joue aussi sur le terrain sportif, la Région soutient en outre le mouvement sportif avec comme objectif : proposer une activité sportive pour tous. Repenser les équipements sportifs pour qu’ils répondent aux besoins des femmes, encourager la pratique féminine et soutenir en particulier les clubs franciliens qui favorisent celle-ci font partie des axes d’action de la Région.
Une politique garantissant la liberté des femmes

Côté éducation, la Région a créé le dispositif Olympe pour encourager les lycéennes à s’orienter vers les filières scientifiques.
Lutter pour l’égalité, c’est aussi aider les femmes dans des aspects de leur vie où elles se retrouvent trop souvent en première ligne, comme la garde des enfants : en soutenant des lieux de garde aux horaires amplifiés ou décalés.
Enfin, parce que les difficultés sur le marché du travail n’épargnent pas les femmes, la Région accompagne les créatrices d’entreprise et les associations qui les assistent (Force Femmes, Paris Pionnières…), et vise la parité dans ses aides à l’entrepreneuriat et le retour à l'emploi des plus de 45 ans.
Assurer la protection des femmes

Une convention avec la Fédération nationale Solidarité Femmes permet de reloger les femmes victimes de violences conjugales. En 2017, la Région a doublé le nombre de logements qui leur sont réservés, le passant de 50 à 100 minimum par an. Elle finance également des centres d'aide et d'accueil sur tout le territoire francilien.
Pour lutter contre l’insécurité dans les transports, la Région a lancé, avec la RATP, la SNCF et Île-de-France Mobilités un système d’alerte anti-harcèlement dans les transports via l’extension du numéro unique 31 17.
L'expérimentation de l'arrêt à la demande dans les bus le soir à partir de 22 heures, est en cours sur 11 lignes de Seine-et-Marne et de Seine-Saint-Denis par Île-de-France Mobilités.
Enfin, pour protéger et offrir un répit aux femmes victimes et aux enfants covictimes de violences ou en situation de précarité, la Région propose des séjours dans les îles de loisirs franciliennes.
Photo : © Région Île-de-France ; remise des prix Créatrices d'avenir © Créatrices d'avenir ; mur à la Fédération nationale Solidarité Femmes © Julien Pebrel/MYOP
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